Quels sont les différents types de culture de CBD

Nul besoin d’avoir suivi de longues études en anglais pour comprendre : cultiver ses fleurs en outdoor signifie tout simplement qu’on les a plantées « dehors », en extérieur et donc en pleine terre sans autre protection. Mais cela ne veut pas dire « sans soin » ! A condition de ne pas utiliser d’engrais ou pesticides, c’est par définition la méthode la plus naturelle, la plus écologique. La luminosité du soleil par essence plus complète, l’apport des nutriments contenus dans la terre, l’humidité apportée par la pluie ou les nappes souterraines et même l’aération du vent se révèlent depuis toujours synonymes de culture raisonnée et raisonnable. Et par ailleurs, ce choix est économique puisque tous les ingrédients nécessaires à la croissance et à l’épanouissement de la plante sont gratuits !

Reste évidemment un bémol, et pas des moindres. A l’instar de n’importe quelle culture extérieure, celle-ci se révèle sujette aux aléas climatiques. Pluies diluviennes ou sécheresse, gel, attaque des nuisibles… En quelques heures parfois, une récolte peut être compromise. En revanche, quand la météo est harmonieuse, les rendements se montrent généreux. Même s’il n’y a qu’une « moisson » ou récolte par an. L’« outdoor » permet d’obtenir aussi des fleurs plus parfumées, à l’état brut en quelque sorte. En revanche, les fleurs sont de taille inégale, et parfois gênées par les feuilles qui l’entourent.

Économique et écologique, donc, mais avec les inconvénients que tous les paysans adeptes des méthodes traditionnelles connaissent !